Désaffection pour les sciences
A qui attribuer le nombre insuffisant de carrières scientifiques ?
Dans un remarquable Dossier de veille de l’INRP, Marie Musset nous explique que ce désamour est universel. "Susciter des vocations, accroître le vivier de scientifiques, répondre à la commande européenne... La question de l’enseignement des sciences est pour la plupart des auteurs prioritaire ; la pièce maîtresse reste l’enseignant dans sa classe, et dans tous les cas il faut commencer dès l’école primaire : le scientifique a une bonne image, les vocations doivent s’éveiller tôt de même que la représentation des sciences et des métiers scientifiques." Mais voilà, la désaffection est profonde.