Les motions
La FCPE constate une aggravation des signes de souffrance de certains élèves.
Les jeunes ont besoin d’écoute, de prise en compte de leur vécu, de repères positifs et de dialogue. La substitution des personnels par divers artifices (vidéo surveillance, note de vie scolaire, policier réfèrent...) renforce la fragilité des jeunes.
La FCPE exige, au sein de tous les établissements scolaires la présence de personnels de l’Education nationale (y compris infirmiers, psychologues, assistants sociaux, médecins et tout personnel d’encadrement) en nombre suffisant et formé, au côté de parents reconnus à leur place de coéducateurs.
Dans l’intérêt de tous les enfants sur l’ensemble du territoire, la FCPE exige que les MDPH mettent tout en œuvre pour que les parents d’élèves puissent avoir toute leur place dans les différentes instances.
La FCPE revendique, dans un premier temps, une harmonisation du fonctionnement de toutes les MDPH dans le sens d’un réel suivi individualisé des jeunes porteurs de handicap.